Création société offshore dubai

Pourquoi une société offshore ?

Telle est en général la question qui se pose par rapport au choix de créer une société offshore. Le monde d’entrepreneuriat n’est plus étranger au processus de création d’une société traditionnelle. Selon le pays, ce processus peut être long et difficile. Mais ce qui pousse les entrepreneurs à opter pour la création d’une société offshore est la pression fiscale. Celle-ci reste en effet une menace permanente pour les chiffres d’affaires d’une société en France et dans certains pays du monde. Le retard ou le non-paiement des impôts entraîne des pénalités pouvant aller à des sanctions sévères à l’entreprise. Échapper à l’impôt est pourtant une mission impossible pour une entreprise légalement constituée.

Dubaï : une juridiction fiscale intéressante

L’offshore est donc une meilleure alternative d’échapper à l’impôt en toute légalité. Dubaï a en effet mis en place une juridiction fiscale intéressante pour la création d’une société offshore. C’est donc l’une des stratégies d’entreprise les plus courantes depuis ces dernières décennies. La charge fiscale n’est plus une menace pour les TPE ou PME ayant choisi cette voix. Plus de paiement d’impôts sur les sociétés ou sur les revenus, pas de retenue à la source sur les dividendes distribués. La création et la gestion bénéficient d’une grande facilité, d’une meilleure image auprès des clients internationaux. Pour le cas des sociétés offshore implantées à Dubaï, le fait d’appartenir dans une zone économique la plus dynamique au monde est un atout. Dubaï est particulièrement connu pour son taux de croissance économique qui est le plus élevé au monde.

Création d’une société offshore : les avantages

  • Du côté des entrepreneurs : les procédures de création d’une société offshore sont largement faciles comparées à celles d’une société traditionnelle. Une société offshore non-résidente peut donc être montée au bout des 24 heures seulement et l’ouverture d’un compte bancaire de la société dans 3 à 10 jours. Les procédures offshore permettent ainsi de commencer au plus vite possible une activité de commerce sans être obligé de prendre en charge du coût de la mise en place des infrastructures d’exploitation. De plus, la constitution d’une société offshore ne relève pas trop de difficulté au niveau administratif.
  • Les activités en lignes : pour les activités de services ou de vente en ligne, le recours à une société offshore s’avère être efficace car il permet de conserver un nom de domaine mais aussi de gérer des sites internet. À part le statut d’anonymat que l’on peut bénéficier par la structure offshore, un site web d’une entreprise est beaucoup plus crédible que celui dont la gestion est prise en charge par un particulier.
  • L’activité de consultance : celle-ci s’exerce généralement par l’intermédiaire d’une entreprise offshore. Une fois enregistrée dans une juridiction offshore, la gestion d’entreprise bénéficie ainsi d’une grande facilité, ainsi que de tous les avantages de cette juridiction.
  • Le commerce international : c’est en fait, l’une des activités les plus courantes dans une structure offshore et son exercice bénéficie des avantages fiscaux sur toutes les transactions commerciales effectuées dans le cadre de sa juridiction.
  • Les avantages en matière de fiscalité : dans la majorité des cas, une société implantée dans une juridiction offshore est dite non-résidente. Puisqu’elle n’exerce aucune activité dans le pays de son implantation, cette société n’est donc pas imposée par l’administration fiscale locale, donc, aucun paiement d’impôt ni de taxe sauf une somme modique versée à titre de frais annuel de renouvellement de la licence offshore.
  • L’anonymat : une société offshore est une entreprise légale, mais à tout moment, elle peut faire usage de l’anonymat pour toutes opérations commerciales avec des clients internationaux. Il est donc possible de ne pas faire apparaître dans les documents de transaction les noms des premiers dirigeants responsables de la société offshore. Les banques actuelles surtout celles d’une renommée internationale ont mis en place des réglementations permettant d’examiner les structures des institutions de blanchiment d’argent. Ces mesures constituent cependant un handicap au développement et à l’efficacité de la structure de l’entreprise. Celle-ci est pourtant légale et conforme aux règles juridiques propres aux institutions offshores.
  • Coûts d’exploitation : ceux-ci concernent notamment les sociétés offshore résidentes. Dans le cas d’une proposition de service auprès d’une certaine juridiction, un consultant indépendant peut souvent se déplacer pour choisir où implanter sa société offshore. Dans ce cas, le recours aux sociétés des centres financiers offshore constitue une meilleure option par rapport à l’achat ou à la location des locaux pour les réceptionnistes, fournisseurs informatiques ou pour le recrutement des comptables.